Biographie
- AUTODIDACTE
David SITBON aiguise son sens de l'image dans les métiers du Cinéma comme directeur technique dans le montage virtuel auprès d'une cinquantaine de réalisateurs de renom tels que Mathieu KASSOVITZ, Bertrand TAVERNIER, Cédric KLAPISCH, Jan KOUNEN, Peter BROOK, etc...
- NOUVELLES IMPLICATIONS
À partir de l’an 2005, il se consacre exclusivement à la photographie, aux arts plastiques et à l’étude des mythes.
En 2007, François PINAULT demande à consulter son premier portefolio : Quatre cartes de machines à ordinateurs présentent une série de photographies urbaines et spéculaires. Le maître des arts et des finances « apprécie le travail ».
Suite à cet évènement, Olivier DASSAULT et Pierre-Ange LE POGAM, le propulsent dans ses premières expositions :
- PREMIÈRE EXPOSITION
Le 1er février 2008, c’est à la Cinquième Galerie, que David SITBON accroche ses premières photographies :
Instantanément, François-Henri PINAULT devient le 1er acquéreur d’un certain nombre d’œuvres de David SITBON.
Une semaine plus tard, son 1er vernissage rencontre un franc succès, ouvrant la voie à d’autres amateurs d’art, plus nombreux.
- CINÉMA VÉRITÉ
Fin 2008, il participe à la cause sociale et humanitaire des rencontres internationales du Festival Cinéma Vérité en réalisant son affiche originale.
L’image paraît dans le TIME Magazine.
- INSPIRATIONS & COLLABORATION
II poursuit son travail photographique avec l’acteur américain Dennis HOPPER, et propose à Kevin SPACEY une série de portraits d'acteurs d'un genre nouveau.
Un portrait de l’acteur se détache, prenant le dessus sur un monde virtuel.
Son image se « super positionne » dans une vitre aux multiples reflets : Fusion formelle entre une image réelle et une image virtuelle.
- AU CŒUR DE PARIS
En 2009, il expose à l'Hôtel de Ville de Paris lors de l'exposition de groupe Don de Vie - Don de Soi : Cause nationale et évènement placé sous le haut patronage de Monsieur le Président de la République, Nicolas SARKOZY.
En juillet 2010, David Sitbon décide de quitter la morosité de la vie parisienne. Son expédition démarre à New-York. Il s’agit d’un road-trip à destination d’Hollywood, la Mecque de l’image et du rêve américain. Tout au long de son voyage, il expérimente à bord d’un camion une machine à fabriquer des images d’un genre nouveau. Après de multiples péripéties, des projections d’images transforment les reflets de l’Amérique en de véritables peintures. Elles dévoilent la part du rêve pour ce nouveau concept très innovant que David Sitbon a créé. Ses photographies permettent d’illustrer un documentaire relatant ces aventures extraordinaires.
- LA TRAVERSÉE DES AMÉRIQUES
Le Cape Cod Museum of Art inaugure le départ de son voyage & acquiert la photographie “Sea Food” qui est exposée aux côtés des photographies de Henri Cartier-Bresson, André Kertésc & Robert Mapplethorpe (Soirée de célébration pour la Collection de Christopher Hyland. Exposition : « By way of these eyes : The sublime, exotic & familiar »).En 2011 et 2013, il participe aux expositions/ventes: 100 briques pour Madagascar, chez Artcurial, Paris, aux profits des Écoles du Monde.
- LES ÉCOLES DU MONDE - ARTCURIAL
La création sur brique de David SITBON est exposée aux côtés de celle de Pierre SOULAGE, Bernar VENET, JR, Claude LÉVÊQUE, JonOne, Invader, David LYNCH, Pierre & Gilles...En novembre 2011, David SITBON expose au Grand Palais, en participant à Paris Photo.
- LE GRAND PALAIS
Lors de cet évènement, il présente des créations extraites de sa série "American Reflection".
« Galería Grafika La Estampa », galerie Mexicaine, le représente.Fin 2011, David SITBON est convié à l’Assemblée nationale pour participer aux 5ème assises de la convergence des médias, organisées sous le parrainage de M. Frédéric MITTERAND, Ministre de la culture et de la communication.
- L’ASSEMBLÉE NATIONALE
Les assises se réunissent autour d’un programme d’intervention : Participent les décideurs français des nouvelles technologies des médias, de la communication, de l’audiovisuel, du jeu vidéo, des nouveaux territoires de la création numérique, des députés et certaines personnalités des instances ministérielles.
Alain RENNER, vice Président de SOTHEBY’S France, accompagne David SITBON dans la présentation des grandes lignes de son projet à long terme :
« Unique et fédérateur, le dessein de "The Gracefighter" est de décliner à travers différents médias, l’art contemporain, le cinéma et le jeu vidéo, autour d'une seule et même histoire, celle d'un nouveau mythe fondateur de la civilisation de l’image. »
L'intention est de "révéler les origines, la transformation et la destinée de la toile gigantesque d’images qui se tisse partout autour de nous".
Dans le cadre: « les atouts de la création française sur un marché de l'image mondialisé », David Sitbon anime une projection « vidéo art » extraite d’American Reflection.Début 2013, la Galerie la Petite Vivienne, en partenariat avec Radio Nova, présente l’exposition «Street Life » :
- SPRAY CAN ART & PHOTOGRAPHY
Hommage au Street art, de Lascaux à BANKSY, en passant par BASQUIAT, David SITBON joue et déjoue les règles de l’image par la photographie.
La rue, berceau de l’imaginaire urbain et creuset de la contre-culture, où les images naissent, se mêlent à la foule, croisent les visages, vieillissent, et s’effacent. La rue, c’est là que par son nouveau « reflecting pot » l’artiste fabrique l’image, la met en échos par des jeux de reflets inédits, recompose l’harmonie dans le chaos des images et des mots. Cette poésie urbaine, il l'imprime, l'affiche.
L'image, elle, se froisse, se réconcilie, avant de revenir à nous en photographie.
Œuvre de synthèse depuis les origines de l’image (le reflet) jusqu’à son industrialisation (le spectacle permanent) et ses détournements, Street Life projette d’une large salve d’encre et de papier, un miroir kaléidoscopique, fait pour être traversé sans se retourner.
● DES ORIGINES DE L’IMAGE - (2014)
Sur un défi de Serge Plantureux (expert, chercheur de photographies anciennes, spécialiste de renom et, célèbre marchand …), David Sitbon s’engage dans une exploration des origines de la photographie qui l’amène à un face-à-face avec Nicéphore Niépce.
Depuis le grenier de la maison de Saint-Loup de Varennes où naquit la première photographie, David Sitbon imagine une immense camera obscura dans laquelle il se fait prisonnier volontaire.
Par sa connaissance des jeux de miroirs, il s’en échappe en réunissant dans un seul cliché les trois étapes de la démarche de Niépce : l’ombre, le reflet sur une surface réfléchissante, et la photographie elle-même. Tour de force qui répond à la problématique de Léonard de Vinci visant à introduire dans une ombre, de la lumière.
Cette œuvre dialectique est aussi le point-pivot de sa démarche. L’artiste achève une première étape de son travail analytique sur la construction de l’image. Dès lors, il entame l’aventure du récit de « The Gracefighter », roman mythologique sur le règne de l’image et base d’un projet transmédia.
● PROJET GENESIS - (2015 – 2020)
- Un million de photographies archivées
- Six ans d'enquête sur le pouvoir des images, sur l'origine des récits...
- 50 séries de photographies élaborées pour de futures expositions
- Storytelling auto-biographique
- Révision squelette dramaturgique méga-fiction The Gracefighter
- Écriture de The Gracefighter (Roman), base du projet en développement
Work in progress...